Nicolas dʼOlce, artiste plasticien dʼorigine basque, vit et travaille à Paris.Après sʼêtre confronté pendant des années tour à tour à des matériaux denses comme le plâtre, le bois, le métal et le béton pour concevoir ses sculptures et installations, cʼestplus particulièrement dans les matériaux transparents que constituent le verre plan et le plexiglas que son œuvre se modèle actuellement, sʼappuyant souvent sur le savoir-faire de grands artisans.
Ses travaux récents de dimensions imposantes utilisent les feuilles de verre gravé comme support, tandis que ses couleurs de prédilection sont les matériaux précieux comme la feuille dʼor, le palladium ou des produits issus de lʼindustrie cosmétique.Cette nouvelle expression de son art a une explication : depuis les années 90 Nicolas dʼOlce collabore régulièrement avec des marques de luxe, comme Courrèges, Kenzo, Tommy Hilfiger, Lancôme, Sharp et bien dʼautres enseignes de lʼunivers de la mode, de la beauté et du luxe.

Fin 2013, il crée Big-Bang, une œuvre monumentale réalisée pour lʼespace Guerlain situé dans la Cour des Senteurs, à quelques pas du Château de Versailles : un dessin immense, comme une inclusion dans du verre, gravé et mis en couleur dans les ateliers parisiens du maitre verrier Bernard Pictet.

Cette œuvre représente une explosion solaire, transposition contemporaine de la magnificence de Versailles et des fastes de son château, avoisinant lʼespace Guerlain.

En 2014 cʼest dans un tout autre domaine, celui de la recherche médicale, que son œuvre trouve place : lʼINSERM et lʼUniversité de Paris VII décident de faire lʼacquisition de Rupture, une œuvre où Nicolas dʼOlce représente sur un support de plexiglas de couleur noireune image scintillante des réseaux cérébraux, comme un paysage fantastique de lʼinvisible humain vu par une particule nanométrique.

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